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Décisif trois jours plus tôt face à Troyes, Angel Di Maria, comme nombre de ses coéquipiers, est apparu très emprunté à Angers. Un accident ?
Depuis son arrivée à Paris cet été, Angel Di Maria possède un bilan, statistique, sans faille. Quatre buts et cinq passes décisives en 11 matches, pour 9 titularisations, plus trois autres réalisations en Ligue des champions qui en font le meilleur buteur européen du club cette saison.
Pourtant, à y regarder de plus près, l’ancien Mancunien ne survole pas autant les débats que ses chiffres veulent bien le laisser croire. Et son inconstance peut interpeller. Très actif, même s’il a perdu de nombreux ballons, face à Troyes samedi (5-0), il a notamment offert une merveille d’ouverture de l’extérieur à Cavani pour l’ouverture du score.
Avant de patiner mardi soir à Angers (0-0), même s’il s’est procuré l’une de plus grosses occasions du match en frappant sur le poteau. A Jean-Bouin, il a débuté, comme de coutume, sur le flanc gauche, mais avec plus de libertés que d’habitude puisque c’est le buteur uruguayen et Lucas qui l’épaulaient en attaque, Ibrahimovic ayant débuté la rencontre sur le banc.
Transmissions indignes
Repositionné dans le cœur du jeu après la sortie sur blessure de Matuidi à la pause, il est alors apparu très emprunté, dans un rôle où il a pourtant excellé au Real Madrid. Passes ratées, transmissions indignes et replacement quasi inexistant, l’Argentin ne s’est pas montré sous son meilleur jour, mais comme beaucoup de ses coéquipiers.
Même si ce n’est pas sur ce genre de matches que l’on attend surtout qu’il soit décisif, mais bien lors des rencontres à enjeu face aux grosses cylindrées. Et il a déjà laissé passer une chance d’y briller, le mois dernier à Bernabéu…