"Le Brésil va avoir la pression dans toutes les villes. Le choix du stade dépend de la logistique, d’une série d’autres facteurs. Nous ne pensons pas encore à notre prochain match. Mais dans le nord, il y a une atmosphère, une passion, une énergie positive. Je me rappelle qu’en 1994, 1998 et à d’autres moments c’était déjà le cas."